UNIS VERS ECO RESPONSABLE
charte d'honneur
UNIS VERS ECO RESPONSABLE
L'éthique &/où, une moral.
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Qui est relatif à la réflexion philosophique sur le bien et le mal, à une théorie particulière des règles de conduite. Les deux grandes écoles morales de l'antiquité, Stoïcisme et Épicurisme, ont adopté le principe commun de l'identité du bonheur et de la vertu, mais elles l'ont conçu de façons différentes (G. Pascal,La Pensée de Kant, Paris, Bordas, 1966, p.142).En dépit du fait qu'il n'a laissé aucune oeuvre écrite, ni donné aucun enseignement formel, Socrate peut être considéré comme le fondateur des études de la morales (V.-J. Bourke, Hist. de la morale, trad. de J. Mignon, Paris, Éd. du Cerf, 1970, p.18)
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Notre objectif majeur étant le partage d'expériences en bon père de famille, dans une idée pédagogique évolutif, sous la forme d'une synergie active " Développer l'esprit de coopération par la réalisation d'une œuvre commune dans respect, la coopération & l'évolution des idées créative, la protections du vivant sous toute c'est forme, l'aide a la personne en difficulté de vie, la mise en place d'atelier actif, en son les outils principaux;
Objectifs :
- Développer chez les Membres les attitudes de respect de l'environnement, des autres et de soi-même.
- Développer l'esprit de coopération par la réalisation d'une œuvre commune.
- Développer la conscience citoyenne à l'intérieur de l'association UVER.
- Développer l'esprit créateur en synergie avec le monde du vivant.
Les outils;
- le respect des personnes (pas d’atteinte à la vie privée où au secret de la correspondance, ni d’injures ou de diffamation) ;
- la protection des mineurs contre les contenus dégradants, violents ou favorisant sa corruption ;
- le respect l’ordre public qui condamne le racisme, l’antisémitisme ou l’apologie du crime ;
- préservation de l’intégrité de l'association Uver:
le membre ne doit pas effectuer, de manière volontaire, d’actions pouvant nuire à l’intégrité de l'association Uver, part leur comportement où leur propos.
- utilisation des ressources pour les activités pédagogiques : il s’agit d’un
usage dans le cadre éducatif et non personnel ;
- chaque Membre ce dois d'être responsable de lui même, dans la digniter, l'intégrité & L'honneur de la VIE.
L’équipe Unis Vers Eco Responsable.
Nos Membres ACTIF,
s'engage à >...
(Le membre est responsable de toute la communauté, comme un père l'est de ses enfants. A la lumière de cette conception, il faut se demander quel genre de responsabilité sociale on pense donner aux membres dans cet engrenage des pouvoirs).
Prélude.
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Dans une société où l'économie est en train de nous faire perdre le sens d'être, de faire et de vivre ensemble ainsi que l'idée du bien commun et où la priorité est donnée aux itinéraires individuels, il est difficile de demander à chacun de prendre ses responsabilités envers les autres. Quand la logique de cette société nous pousse à la compétition et à l'exclusion du plus faible, la prise en considération des autres, loin d'être vue comme naturelle, devient une chose assez remarquable. 11 y a de moins en moins, de lieux communs où l'individu pourrait communiquer avec l'autre, dans toute sa particularité. Le citoyen, fondu dans la masse, semble préférer se laisser conduire par l'Etat et par la science, en qui il a déposé toute sa confiance, plutôt que de se confronter à eux ou à quelque violence ou injustice que ce soit, surtout s'il n'en est pas la cible. L'homme capitaliste, devenu individualiste, est beaucoup plus intéressé par son propre sort que par celui des autres. Aussi, il est primordial de se questionner sur ce qui l'inciterait à changer sa façon de voir autrui et sur ce qui ferait naître chez lui le sens de la responsabilité.
Pourquoi est-ce si difficile pour l'homme moderne de prendre ses responsabilités au niveau social ? Voilà à quoi nous chercherons à répondre tout au long de notre voyage. Selon nous, la perte de notre responsabilité sociale est due, avant tout, à notre individualisme. L'homme occidental est devenu si individualiste, qu'il n'arrive pas à se déconnecter de lui-même pour faire fàce à ses responsabilités envers autrui. Voilà notre intuition centrale. Quel type de société permettrait un équilibre entre notre recherche d'évolution personnelle et notre intérêt social ?
La Dîme; sous un regard philosophique, nous quittons ici, le règne de la manipulation religieuse, voir d'état, pour ne pas parler de la taxe des rois, nous parlons ici, d'une reconnaissance du pouvoir de l'intention, le MERCI, dans ça plus simple expression, "la coupe en bois ", nous parlons ici d'un choix VOLONTAIRE de partage, d'échange, d’équité.
- ce que je reçois, je l'amplifie, principe de base d'une synergie dynamique, le sens profond de la dîme est un Cadeau que l'on offre en conscience.
la responsabilité n'est pas uniquement un principe, mais aussi un sentiment, ce qui expliquerait, que nous la ressentions universellement.
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- Le pouvoir d'appliquer une intention responsable.
Le pouvoir de l'intention est directement lié à la volonté du cœur, quand ont parle du cœur, on ne parle pas ici bien sur de L'organe physique, mais bien du cœur conscient, nous somme ici dans le monde spirituel, la conscience individuel, L'être dans son excellence;
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- c'est un des devoirs conscient de nos Membres actif, appliquer l'intention du merci, savoir reconnaître ce qui lui est donner, et le transmettre amplifier, à celui qui est près à le recevoir.
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Le sage nous enseigne;
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« Mes bien chers Frères, qu’il n’y ait parmi vous qu’un même cœur et un même esprit; « Aimer le prochain, c’est l’avertir de ses manquements, c’est l’aider à corriger ses défauts. - la Source nous enseigne à veiller sur son prochain, d’en avoir soin. »
« Le bon membre, imite les membres du corps humain ; il travaille pour le bien commun, il fait toujours passer l’intérêt de la communauté avant ses satisfactions personnelles ; tout dévoué à ses sœur/frères, il n’est occupé qu’à leur être utile, à prévenir et satisfaire leurs besoins ; il se donne pour procurer satisfaction et leur bonheur. »
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« La pierre de touche, pour discerner la vraie bonté de la fausse, c'est le support de l’injure et de la contradiction. Ce n’est pas une chose difficile d’avoir de la bonté à l’égard de ceux qui en ont pour nous, mais faire du bien à ceux qui vous persécutent, parler avec modération, douceur et affabilité à ceux qui se moquent de nous, qui nous outragent ou nous calomnient, n'est pas donné à tous »
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- c'est un des devoirs conscient de nos Membres actif, appliquer aux mieux que possible, la parole impeccable.
La Responsabilité: peut être le modèle pratique de cette responsabilité au niveau des organisations. Mais il faut pouvoir fonder éthiquement cette nouvelle responsabilité collective, sans auteur, prospective, et qui n’impute plus tant les actes en les attribuant à des sujets que les impacts des actes en créant des collectifs solidaires. C’est ce que nous faisons dans cette thèse, en fondant une éthique à trois dimensions : vertu, justice, courage, et en reformulant la Responsabilité Sociale des Sciences comme celle des Entreprises sous l’égide d’une éthique de la discussion. Sur ces fondements éthiques, la Responsabilité Sociale ne peut plus être conçue comme engagement volontaire mais comme devoir à institutionnaliser par régulation hybride de notre coresponsabilité.
“Si les hommes n’étaient pas égaux, ils ne pourraient se comprendre les uns les autres, ni comprendre ceux qui les ont précédés ni préparer l’avenir et prévoir les besoins de ceux qui viendront après eux. Si les hommes n’étaient pas distincts, chaque être humain se distinguant de tout autre présent, passé ou futur, ils n’auraient besoin ni de la parole ni de l’action pour se faire comprendre. Il suffirait de signes et de bruits pour communiquer des désirs et des besoins immédiats et identiques. (…) Mais seul l’homme peut exprimer cette distinction et se distinguer lui-même ; lui seul peut se communiquer au lieu de communiquer quelque chose, la soif, la faim, l’affection, l’hostilité ou la peur. Chez l’homme l’altérité, qu’il partage avec tout ce qui existe, et l’individualité, qu’il partage avec tout ce qui vit, deviennent unicité, et la pluralité humaine est la paradoxale pluralité d’êtres uniques.”
La vie en péril; Comment nier aujourd'hui qu'il y a bien une catastrophe imminente quand à l'avenir de la terre? Qui oserait minimiser les catastrophes écologiques, la contamination des animaux par la Dioxine présente -dans les farines .animales, la déforestation abusive, la fonte des glaciers du pôle nord, les dangers des modifications génétiques ou la diminution de la couche d'ozone? Nous sommes tous, informés de ces bouleversements par les nombreux moyens de communications qui sont aisément disponibles, mais cela ne suffit apparemment pas. En connaissance de cause, nous continuons, dans la plupart des .cas, A vivre notre vie sans penser aux lendemains -ou avec l'idée surprenante, -que ce qui pourrait être détruis, ne pourrait être réparé. Les industries produisent de plus en plus, à des échelles de plus en plus larges en s'assurant de maintenir chez l'acheteur un besoin compulsif d'acheter- Ces industries, tout en utilisant sans fin, les ressources naturelles épuisables, polluent notre atmosphère et créent des déchets non périssables, qui s'accumulent sans cesse au fil des années. Les bénéfices qu'offre la technologie nous semblent peut-être- plus importants que les conséquences de celle-ci. !!!
la vie est précieuse et vulnérable à la fois. Elle a une valeur absolue et métaphysique. La nature est,un bien en soi: elle n'a pas à être modifiée ou perfectionnée puisqu'elle est déjà entière dans son essence. Ainsi, la vie a une supériorité sur le néant et doit être protégée. Ce bien qu'est la vie, doit donc devenir un but en soi. Et c'est dans l'action que l'humanité peut protéger ce qu'il a de plus précieux. l'être humain-est-il appelé à «devoir-:être »,surtout à « devoir-agir» et le deuxième à prédominance sur le premier. Car rien n'est plus puissant que le devoir de protéger la vie en tant que telle, au-delà même de notre. propre existence.
- c'est un des devoirs conscient de nos Membres actif, appliquer aux mieux que possible, l'action volontaire d'agir spontanément.